Le descendant de l'Akatsuki

Quel endroit affreux, résignant à un consolation médiocre de la part de son supérieur.
Il n’en avait plus. Le voilà devenu Chef de l’Akatsuki à lui seul.
Une organisation bien vide je dois l’admettre.
Que pouvait-il faire seul ? Toujours seul…
La solitude… C’était pas une passion d’être seul. Pour lui c’était une punition.
Et il ne devait que s’en vouloir à lui même.
Sur l’un des doigts de cet être au visage méprisant, cette « Chose » accablante et immoral.
Que cela pouvait-il être ? Ah oui !
Ses souvenirs revinrent… C’était sa qui aspirait les bijuu de leur jinchuuriki.
Et pourtant, Eikichi ne voyait pas quel était le but de faire sa.
Fixant toujours cette magnificence, cette âme, cette sorte d’objet ou d’invocation…
Tout lui paraissait disparaître dans les ténèbres. Tout n’avait plus de sens alors dans sa vie.
Tout comme avant, devenu Chef peu être, son cœur n’avait toujours pas pu oublier son passé.
Ces scènes affreuses et douloureuses qui noircissaient ce cœur d’une tout autre bonté…
Si on pouvait appeler cela, de la bonté.
Bien que seul, sur ce doigt, là où sa bague lui permettait d’y accéder.
Il se sentait soulager et apaiser. Juste pendant quelques instants avant que tout ne redeviennent peur et jalousie, haine et souffrance.
Il n’y arrivait pas… Il n’arrivait pas à retenir toute cette rage, toute cette douleur…
Il ne pouvait se mentir à soit même, ni à personne d’autre d’ailleurs.
Succombant à ce mal qui le ronge, cette douleur qui l’occulte, cette haine qui l’emprisonne dans la sombre obscurité de la salle.
Tout séternise et devient pleure et sang.
Toute cette vue de sang qui coulait, Eikichi s’en mordit la lèvre inférieur jusqu’à ce faire saigner.
Les dents serrés, les poings fermés, les larmes au yeux… Tout seul…
Qu’elle tristesse, qu’elle triste solitude… La mort était pour lui la seule solution et au lieu de sa, il continu à vivre après tant d’échec.
Tout comme l’est Ryuzaki… Eikichi ne savait rien de lui encore mais cet homme le chercher et finirait bien par le trouver.
Mais revenons à notre martyre. Lui qui se sentait abandonner et soumis à une déchéance et un malheur sans fin.
N’arrivant pas à oublier son passé, tout en repensant à cette douceur que put lui procuré celle qu’il aimait…
Pourquoi c’être servit de lui ? Alors qu’il était un ninja tout à fait normal.
Tous se retournèrent contre lui. Tous, sans exception.
Le visage baisser, à genou sur se tas de caillou, si cela y ressembler.
En pleure face à son malheur qu’il ne peut et ne pourra changer.
Si seulement il avait encore la force de continuer… à vivre, à faire le bien ou le mal.
Il était entre, sans savoir que faire et quoi choisir. Le choix est une chose difficile.
Choisir son destin l’est encore plus. Alors qu’il y a du bonheur autour de lui, ses yeux ne lui montrent que les sombres et cruels désespoirs de ces êtres méprisant.
Non ! Bien sur que non !
C’était des êtres humains tous ce qui a de plus normal, c’est Eikichi lui même qui est différent.
Ca différence avec les autres, ses sensations, son caractère et autres ne devaient pas pouvoir lui permettre de s’associer avec eux.
Il se devait d’être seul comme toujours, car depuis son enfance, personne n’avait porter beaucoup de compassion et d’admiration pour lui.
C’était un gosse et un homme tout à fait pathétique et normal avec une vie monotone et sanglante d’ailleurs.
Mais cela tout le monde s’en fichait.
Faire le mal… Alors qu’il y a déjà tant de mal dans ce monde.
Le bien serait préférable mais pour qui ? Qui l’aiderait et qui le suivrait sur cette route de bonheur qui serait peu être que rêve et illusion ?
Ca restera un mystère puisque il n’a personne sur qui compter…

« Pourquoi ?….Pourquoi tout ça ?… Je… j’en peux plus… Aidez moi… Laissez moi… Je veux en finir… Ce monde ne m’apporte et ne ma jamais rien apporter de bon… Personne ne m’aime… Je suis seul… toujours… seul…»

Tel un oiseau en cage, il se sentit comme menacer, emprisonner.
Sans pouvoir bouger… Tout lui semblait misère et décadence.
Rien de bon n’émanait de lui à se moment là. Tant de souvenirs qu’il aurait aimer oublier.
Tant de haine et de souffrance qu’il aurait aimer voir disparaître à tout jamais dans l’au delà.
Et pourtant, toute cette haine qui avait enfoui au fond de lui, ne pouvait que lui être nauséabonde et douloureux.
Pour lui, il aurait aimer ressentir n’importe quoi à la place de se qu’il ressentait.
Mais cela lui était impossible.
Au Dieu, miséricorde Dieu, pardonnez le et permettez lui une vie heureuse avant que son cœur ne s’arrête de battre pour toujours.
Mais qui pouvait entendre sa prière ? Pour la première fois depuis la mort de son ami, Eikichi pria.
Priant que sa vie de malheurs puisse changer et apporter du bonheur… Non ! Il changea tout à coup.
Plus de pleure, plus de larme, plus de bruit incessant.
Il releva le visage trempé de ces larmes cristallines vers le ciel, alors qu’il ne voyait que l’obscurité de ce plafond.
Sa prière changea alors… Quel égoïste il faisait.
Il ne pensait que très rarement à lui… Mais là, il se devait de faire une chose.
Il pria non pas pour lui mais pour les autres… Demandant grâce aux Dieux de bien vouloir apporter le bonheur… Aux autres.
Et oui ! Eikichi préférait continuer à souffrir et de voir les autres sourires, un sourire de joie et de gaieté.
Quant à lui, sa misère ne pouvait être changer par une simple prière puis… Dans ce monde, si on ne pense qu’à soit alors tout ne sera que décombre et le chaos s’abattrait ici bas.
Mais il ne voulait pas de sa « lui ».
Le bonheur des autres passait largement avant le sien. Puisque sa vie n’avais jamais était bonheur alors pourquoi ne pas continuer ainsi tout en pouvant voir ce spectacle radieux des enfants souriant jouant sous un soleil éclatant.
Alors qu’il serait lui, sous une capuche ou un chapeau de paille, l’air morne au regard paisible mais souffrant pour toujours de son cœur briser irréparable.
Se relevant avec légèreté, son cœur se mit à pincer, une douleur atroce lui vint au cœur.
Non ! Ce n’était qu’un signe… Mais un bon ou un mauvais ?
Il fallait attendre… Et patienté encore pour pouvoir voir son rêve se réaliser.
Qui imaginerait le Chef de l’Akatsuki à l’âme pure et enthousiaste de voir le bonheur autour de lui ?
Mais il savait qu’un jour ce bonheur qu’il lui était arracher serait un trop lourd fardeau et se rebellerait contre cette joie tout en voulant tuer ces êtres faibles.
Mais il savait aussi qu’il devait mourir un jour comme tout le monde… Sauf que pour lui, sa ne tenait plus qu’à un fil.
Ce cœur qui n’avait jamais était soigner jusqu’à lors… Il le garde précieusement sous ce tas de chair, de muscle et d’os.
Il jeta son ancienne bague, celui qu’il avait au par avant au pied de cette main.
Tout en reprenant celui d’Itachi. Le voici devenu ce qu’il n’aurait jamais pensé un jour devenir… Le Chef de l’Akatsuki…
Sans plus attendre, il disparut dans les ténèbres, car il avait un devoir à accomplir… Qu’il soit bon ou mauvais… Il n’en savait rien et écoutait seulement ce que son cœur meurtri lui disait de faire.
Tel était alors son destin !