Destruction de l'Akatsuki

Le monde devenait si sombre.
Les ténèbres allèrent donc s’abattre ici bas, enfin.
Le moment dont tous, nous préférions ne pas à connaître.
Tout s’assombrit. Tout devint chimère, oublie l’innocence, la pureté d’âme.
Tout devint mensonges et souffrances, tout se met à changer.
Mais qu’est ce que cela peu faire à cet homme ayant tout perdu ?
Rien, naturellement. Mais il faisait partie de ce monde, et qu’est ce que cela engendrera ?
Lui, il n’est qu’un pion sur un échiquier.
Un être abject détester de tous. Il savait bien que tout le monde lui mentait, qu’on ne portait aucune attention à lui.
Il n’avait que faire de voir ce monde détruit par les ténèbres.
Toute fois, il se devait de faire quelque chose pendant le peu de temps qu’il lui restait.
Son plan se mit alors à disposition. Tout ce qu’il avait prévu de faire.
Tuer ? Assassiner ? Détruire ? Il avait tout prévu et sur ment pas pour faire du bien.
Accélérer la destruction ? Non ! Juste… Périr dans les flammes de l’enfer.
Il n’existe pas de Paradis, ni de monde meilleur.
Si cela existait vraiment, alors pourquoi le monde serait empli d’une telle haine ?
Eikichi possédait une haine atroce et phénoménale.
Cela le rendait totalement fou et incontrôlable.
Mais il sentait que le danger le guettait tout comme il guette deux jeunes personnes de sa connaissance.
Mashia… Yondaime… C’était leur vie, pas la sienne.
Il n’avait aucuns droit de s’en préoccupé ni de s’en soucier. Il fallait les laisser vivre leur destin et ne pas empêcher qu’il s’accomplisse comme il était prévu.
Mais pouvait-il les aider ? Peu être, mais qui avait besoin de l’aide de meurtrier solitaire sans famille, sans vie… Sans amis ni amour… ?
Dans un souffle puissant, comme l’effondrement des catacombes ou l’explosion d’un village entier.
L’Akatsuki fut… Détruite… Plus rien, la grotte fut pris dans une explosion puissante.
Eikichi était redevenu haineux. Les poings en sang, le visage creux et pale.
Un regard vide, sans âme… Il avait tout laisser à l’abandon, tout détruit.
Plus aucune trace de l’Akatsuki… Du moins… Plus aucun endroit qui les rassemble…
Sauf la salle du Centre Lunaire.
Le seul endroit tenant encore debout. Il n’avait pas tout exterminer, pour une raison que tout le monde ignore sans doute.
Que vaux son âme ? Que vaux sa propre vie ?
On naît pour mourir, on ne choisit pas de vivre, mais on peu choisir notre mort.
Et cela, ne peut être qu’un choix difficile pour ceux qui sont accrocher à la vie… Et ceux qui ont des êtres chers à protéger.
Eikichi… Il n’a plus rien. Seul ses souffrances et ses tourments.
Ce qui le dérangeait, ce n’était pas de ne pas êtres aimer… Mais d’être toujours seul…
La solitude noircie les cœurs les plus pures… Eikichi en fut la preuve vivante.
Même s’il restait un brin de pureté, de joie ? Non ! De bonté en lui.
Mais tout aller disparaître avec tout les autres.
Eikichi sentait le danger… Mais il avait bien autre à faire.
Ses souvenirs passés n’ont fait que le rendre amère et désespéré de vivre une vie meilleure.
Pour lui, rien ni personne ne pourra changer son malheur.
Il souffrait… Il souffrait atrocement… Il n’est pas le seul.
Il n’avait personne à épaulé, personne à aider et à chérir… personne à qui dire « je t’aime » ou « ami »… Il n’avait rien que des caillasses et ses vêtements délabrés.
Vivre seul entre quatre murs sans pouvoir voir la lumière du jour se levé au loin…
Est-ce ça la vie ? Est-ce que tout le monde mérite de sombrer dans la décadence et l’orgueil, la jalousie et la violence ?
Ce monde est cruel… Perfide et sans importance pour les âmes en peines.
Non ! Les âmes en peines non pas leur place ici bas et sont d’aucune importance.
J’en fais serte partie… Le monde ne s’intéresse point à ce genre de personnes.
Le monde court à sa perte… Paix soit dans le cœur des plus démuni…

« Ce monde n’est pas à ma porter… Je suis le mal… Je l’ai toujours été… Personne n’avait de compassion pour moi… C’était de la peur, de la crainte… Si je n’étais pas comme sa… Est ce qu’on m’aimerait ? Aurais-je des amis ? Je suis seul et abandonner de tous… Mis à l’écart… Je ne suis rien… Je n’ai plus rien à perdre maintenant… Tant qu’à détruire ce qui n’a point raison d’exister si ce n’est de laisser à l’abandon touts les êtres au cœur empli de pureté pour les voir ainsi devenir aussi monstrueux que le diable en personne… Mais cette fois, je me laisserais plus avoir… J’en ai plus que marre de voir ma vie… Mon cœur… Se briser… Ce ne sont que de simple mot tout comme « aimer » ou « amitié »… Que l’enfer s’abatte sur terre… Si tel est le destin de chacun… Je me dois accomplir mon destin … »

Il avait perdu la raison ? Non, son cœur c’était noirci dans la solitude.
Qui aime un démon ? Un être néfaste et abject ? Seul les fous…
Et quant à moi… Je me dois de le suivre… Je suis inutile tout comme Eikichi lui-même…
Et cela jusqu’à la fin des temps… Mais mon cœur est point noirci… Mais la souffrance est tel que nous ne faisons qu’un.
Il avait une marque, celle de sa colère, de sa haine... Cette marque le ronge petit à petit...
Jusqu'à le dévoré tout entier sans pouvoir ensuite se contrôler totalement.
Mais Eikichi ne semblait pas être vraiment seul là… Tout autour de lui, sur les décombres…
Se tenait 3 ou 4 hommes lui ressemblant étrangement.
Normal… C’est ce qu’on appelle plus couramment… Shouten !
Utilisant le corps d’une personne pour lui transférer sa force ainsi que son apparence.
Mais ces hommes là prirent une toute autre apparence.
Personne n’était vraiment Eikichi, qui allait trouver le bon pour le faire retrouver la raison ?
La destruction du monde vient de commencer.
La vie n’avait plus de sens sans être accompagner de personnes capables d’aimer…
Une vie de solitude ne menait à rien… Alors tant qu’à tuer et détruire ceux qui n’ont que crainte et peur de mourir si tel est leur destin.
Eikichi… Soit celui qui mènera le monde à sa perte, celui qui montrera la terreur, ta haine, ta souffrance… Essaye de trouver la joie de vivre pendant le peu de temps qu’il te reste.
Car quand tu seras mort, personne ne viendra pleurer sur ta tombe…
Car tu es abandonner et tu ne mérite pas, tout comme moi, d’être aimer…
Ainsi soit-il…
L’assaut est lancer… Qui saura arrêter cette fureur qui s’abattra ici bas ?
Si seulement… Si seulement il pouvait connaître une fois le bonheur… Que le destin de tous s’accomplisse.

« Suis-je donc le seul… à comprendre ce que le monde endure ? Les hommes sont sur terre pour quoi ? Pour se faire du mal mutuellement ? … J’en ai plus qu’assez de le voir dans un tel état… Tout le monde me fait souffrir… A me prendre pour un monstre… A me mentir… A me craindre comme la peste… Je ne suis que détester de tous… Et je vais prouver au monde qu’elle terreur je peu être quand on laisse un homme à l’abandon sous une pluie morbide dont chacune des goûte qu'il le touche sont comme des milliers de coups essayant de briser un cœur… Le mien est irrécupérable… Briser pour l’éternité… Adieu… »