Une maison isolé

Ce doux village, celui de ses souvenirs, celui de son passé.
Voici donc là… Ou Eikichi fut retrouver.
Oui ! Quand il fut perdu dans cette foret, et retrouver par la jeune fille, celle qui s’occupa de lui et de sa grand mère.
C’était l’hiver à l’époque, tout était calme.
Il marchait dans cette neige avant de tomber dans l’évanouissement total.
Lorsqu’il fut retrouver par cette charmante demoiselle qu’Eikichi considère à présent comme sa petite sœur.
S’avançant vers une maison assez isoler, là il vit une jeune femme, ravissante.
Prenant de l’eau dans un puit avec un sceau.
Eikichi ne put s’empêcher d’aller aider la jeune demoiselle.
Prenant sans parler cette corde, pour remonter se sceau, la jeune femme prit peur.
Quand Eikichi déposa le sceau en souriant, la jeune femme le remercia.
Mais qu’elle se prépara pour partir, Eikichi l’attrapa par le bras.
Il avait le regard vide, un regard exprimant la désolation et le désespoir.
Tout en fixant le sol, il releva se doux visage pour regarder celui de la demoiselle.
Elle fut surprise mais aussi apeuré. Qui pouvait être ce jeune homme avec ce sourire faux ?
Il la lâcha et elle se pressa de courir à cette maisonnette toute délabré.
Eikichi s’en approcha lentement lorsque une vielle femme sortit de l’ombre de cette porte.
Tout en fronçant les sourcils, la vielle dame ne tenait plus debout, se retenant à un bâton qui était aussi dans un piteux état.
Le sourire aux lèvres… Non ! Celui ci n’était pas faux, Eikichi était content de revoir des personnes qu’ils connaissaient.
Mais cela faisait des années qu’ils ne les avait pas revu. Il les salua alors, montrant son respect envers eux.
Ne comprennant pas, la vieille femme demanda à notre jeune Uchiwa de partir.
Ce qui n’allait pas être possible…

« Vous me faites de la peine… Grand-mère… Vous avez donc oublier mon visage à se point ? Cela faisait longtemps je l’admet et toi Saya, tu as bien grandi on dirait… Tu es devenu une femme superbe… Héhéhé… Vous m’avez manquer vous savez ? »

Saya: « …Eiki… C’est toi ? »

« Ben oui, pour rien vous cachez… J’ai grandi aussi, c’est normal… Puis faites pas attention à mon accoutrement assez lugubre… Je suis désoler de vous avoir fait peur, sincèrement, excuser moi… »

Des larmes coulèrent alors le long des joues rose de la jeune demoiselle.
Qui s’empressa de sauter au cou de Eikichi qui partit en arrière.
Voilà de joyeuses retrouvailles. Cela faisait tant de temps…
Eikichi ne savait plus quoi leur dire, Saya ne s’arrêta pas par contre, une vrai pipelette.
Quant à La grand-mère, elle était tout aussi heureuse, elle ne pleurait pas mais sa joie de retrouver un enfant qu’elle considérait comme son petit fils était merveilleux.
Pourquoi les revoir aujourd’hui ? En avait-il le temps ?
Le temps passa, et ils se retrouvèrent autour d’une table à prendre le thé.
C’était la nuit à présent. Il avait passé sa journée à raconter tout son passé…
Ce qui ne l’enchantait pas. La vielle femme alla alors se coucher sans prononcer un mot.
Alors que Eikichi sortit devant la maison pour admiré les étoiles lorsque Saya vint s’en approcher tendrement… Un peu trop d’ailleurs.
Se tenant à son cou, elle souriait pour essayer de lui remonter le moral mais rien a y faire.

« Tu sais Eiki… J’ai souvent rêver de toi quand tu es partie…
L’air surpris, Eikichi le regarda avec de grands yeux écarquillés, quant à elle, elle sauta sur un rocher.
Elle était alors illuminait par la lueur de la lune, on aurait dit une fée…

« Je pensais que tu étais heureux avec tes amis… et ta famille… J’avais tout faux en fin de compte… Mais je suis heureuse de t’avoir retrouver, tu nous as terriblement manquer à grand-mère et moi. Tu es grand dis donc, tu es devenu plus fort aussi… Tu étais triste hein ? J’aurais aimer être là pour t’aider et te soutenir… »

Eikichi posa alors sa main sur la tête de la jeune fille, comme dans le passé.
Il souriait et la regardait droit dans les yeux, des yeux si bleu, elle était charmante serte, mais pour Eikichi, c’était sa sœur.

« Je n’ai pas besoin qu’on m’aide… Et puis, je n’ai aussi plus envie de m’attaché à qui que se soit… Vous êtes ce qui reste de ma famille… Dis moi ! Grand-mère ne serait pas malade à tout hasard ? »

« Si… La peste avait envahis la région peu de temps après ton départ… Elle a attraper une autre maladie, le docteur a dit qu’elle devrait réussir à guérir si ça ne s’aggrave pas. »

« … Je vois… Elle guérira t’en fait pas… Moi aussi après tout… Je suis malade… »

« Oui… mais tu ne mouras pas, hein ? Dis ! Je ne veux pas te perdre, et grand-mère non plus… Vous êtes aussi ma seule famille… »

La jeune fille se mit alors à trembler et prit Eikichi dans ses bras.
Elle avait peur de tout perdre se qui lui restait de plus cher… Eikichi avait tout perdu.
Pour lui, ce n’était plus que des personnes inconnus même si il les considérait comme sa famille.
La voilà dans les larmes, ne savant pas quoi faire, il la serra alors dans ses bras pour la réconforter.
Il la comprenait après tout… Mais cela faisait si longtemps… qu’il n’avait vue une femme pleurée…
Le lendemain, Eikichi se prépara à partir et leur jura de revenir très bientôt, il avait affaire ailleurs et il ne voulait pas leur attiré des ennuis…
La journée était ensoleiller, une belle journée s’annonçait. Mais Eikichi pensa tout à coup à quelqu’un…
Mashia… Il savait qu’elle était blesser et que son inquiétude portait sur elle…
Mais ce n’était pas à lui de l’aider… Car il ne recevrait rien en retour…
Il aurait encore souffert et serait rester seul encore et encore…
Le voilà partie alors en direction de Konoha… Son village natal…

Le visage indécent, aucune émotion s’y échapper.
La neige tombait, il faisait froid. Pourtant Eikichi ne portait rien sur ses épaules, il avait emmitouflé la jeune femme de ses vêtements pour qu’elle n’attrapa pas froid…
Torse nue, le visage couvert de cette douce fraîcheur qu’était la neige.
Fixant la jeune femme qu’il tenait dans ses bras, elle lui rappelait un peu trop celle qu’il aimait autre fois…
Son cœur était briser serte mais il avait toujours une âme pure au fond de lui…
Il ressentait donc de la sympathie pour cette femme qui ne connaissait que trop peu et pourtant…
Elle semblait être traverser par une douleur insupportable pour une jeune femme de son rang.
Marchant au grés de ce chemin enneiger, tout était calme.
Oui ! Eikichi connaissait cette endroit, celui où il fut recueilli dans sa jeunesse.
Son passé était des plus inconnus, alors il savait qu’emmener Mashia ici n’aurait aucun problèmes.
Elle serait en sécurité. Connaissant tout les moindres cachettes de ce coin pour ne pas se faire attraper, il savait qu’elle n’avait rien à craindre et que personne ne viendrait la chercher ici.
C’était surment le seul endroit possible d’accueillir une jeune femme affaiblie et martyrisé par des êtres lui faisant croire qu’ils l’aiment…
De tels mensonges de tels cruautés… Elle avait assez souffert.
Puis Eikichi préférait souffrir lui au lieu de voir le mal ronger le cœur des autres.
Regardant ce doux visage, il replaça une mèche de cheveux mal placé qui cachait ce visage si raffiné.
Etait-il vraiment différent des autres ? Est-ce vraiment le seule à lui vouloir du bien ?
Il en avait marre de ce monde, marre de voir tout le mal qui emmenait ici bas.
Mais à force de fixer cette femme, ces lèvres… Il repensa à un moment magnifique de sa vie…
Un jour mémorable… Son tout premier baiser…

~~Flash Back~~

C’était un temps magnifique tout comme il y avait à Konoha.
Sous les cerisiers en fleures, Eikichi donna rendez vous à cette charmante jeune demoiselle qui se prénommait Izumi.
C’était une fidèle kunoichi de médecine. Elle aimait aider les gens c’est ce qu’il la rendait ravissante et heureuse.
A chaque fois qu’il voyait ce sourire si radieux il était plonger dans une profonde nostalgie.
Ce jour là, il l’attendait sous un cerisier dont les pétales venait se poser dans sa main.
Quand il entendit alors un bruit, ou plutôt un cris, un cris de joie.
La voilà qu’elle arrivait, elle portait une robe ravissante, ce qui amincissait déjà bien sa taille.
Elle était d’une beauté ravageuse, elle était splendide, Eikichi était tout émotif à l’idée de sortir avec cette femme.
Rougissant comme une pivoine, il ne s’arrêta pas de la regarder s’approcher jusqu’au moment où elle trébucha.
Eikichi courut vie l’aider à se relever, elle n’avait rien, toujours souriante…
De quoi rendre heureux le plus malheureux des hommes.

« Eikichi-kun… Tu pense quoi de ma tenu ? Hein, dis ! Tu me trouve comment ? »

« Je… Je te trouve ravissante et étincelante de splendeur »

Alors là il ce sentit tout étourdit. Il reçu un baiser amical sur sa joue qu’il ne fit que le rendre plus timide que ce qu’il était.
Un petit « Merci » ce fit alors entendre lorsque ces lèvres si pulpeuse vinrent se poser sur cette joue.
Eikichi était tout content à l’idée de sortir avec cette femme.
Une journée inoubliable… Le temps passa, ils déjeunèrent dans un champs sous les arbres fleuries et les animaux des campagnes.
Puis ils s’amusèrent, riaient, le cœur emplie de joie de vivre…
C’était surment le plus beau moment de sa vie.
Le soir venait de tomber, après une telle journée d’amusement et de galanterie.
Ils allèrent voir au dessus des visages des hokages ce magnifique coucher de soleil.
Tout deux cotes à cotes.
Eikichi la regardait du coin de l’œil, hypnotisé par tant de beauté et de gaieté…
C’était vraiment la femme idéal. Alors vint un feu d’artifice, ce qui surpris notre jeune Uchiwa.
Elle posa alors sa main sur la sienne puis sa tête sur son épaule.
Eikichi ne put s’empêcher de rougir bêtement.
Le jeune femme ferma ses doux yeux bleuté, laissant ressortir des mots tendre, des mots d’amour…

« Tu sais Eikichi… J’ai su des le premier regard qu’on était fait pour être ensemble. Il fut très surpris de ce qu’elle dit alors, serrant la main du jeune homme qu’elle désirait. Tu as toujours été là pour aider qui que se soit… Je t’admire d’être aussi gentil. Dis moi… Tu… Tu aime quelqu’un ? Tu as une copine ? »

« Hein ?… Euuuuh… Non je n’en ai pas… Faut dire aussi que je n’ai jamais trop chercher à en avoir héhéhé… Hum ? » La jeune femme s’approcha alors doucement mais tendrement de ce visage si doux.

« Tant mieux… »

Elle y déposa alors un baiser langoureux sur ces douces lèvres qu’Eikichi n’avait jamais embrasser jusqu’à lors.
Regardant le jeune femme, les yeux fermer, elle était plus qu’un Ange.
C’était un moment de tendresse, tout aussi magnifique que joyeux.
La jeune femme poussa alors Eikichi en arrière, se mettant sur lui, ses cheveux tombèrent alors devant son visage cachant sa joie.
Eikichi tremblotait, ne savant pas quoi faire ni se qu’elle allait faire.
Elle continua alors à l’embrasser chaleureusement. Tant d’amour qui fut perdu alors quelques temps après.
Il était aux Anges, le voilà dans les bras de cette ravissante jeune femme qu’il aimait plus que tout au monde.
Tant de baisers amoureux et passionner… Il n’en eu plus un seul jusqu’à lors… Plus aucun…
Il ne se rappelait même plus de l’effet, des sensations que cela pouvait provoquer.
L’amour… Tant de tendresse perdu… Si seulement, il pouvait encore goutter à ces lèvres…
Mais cela ne put être possible…

~~Flash Back off~~

Le regard sans vie, un regard noir, profond, emplie de chagrin…
Pourquoi ? Pourquoi es-tu morte ?
Le voilà arriver à quelques pas de la maison.
La porte s’ouvrit, laissant apparaître une jeune femme ayant à peu prés le même age que celui de Mashia.
Eikichi entra frigorifier. Il déposa la jeune femme qu’il tenait dans ses bras sur un lit douiller, là ou elle pourrait se reposer de tout ses problèmes entre venant.

« Grand-mère… Elle est blessé… Pourrais-tu la soigner ? »

« Ne t’en fais pas pour sa, pour le moment vas te réchauffer, je me charge de cette petite. »

« Merci… Hum ? »

Tenant une tasse de thé bien chaud, la jeune Saya le tendit à Eikichi tout en lui déposant une couverture tout prés de la cheminé.
« Tu vas attraper froid comme sa… D’accord cette fille aussi aurait put attraper froid mais qui c’est au juste ? »

« … Une amie… »

Il but alors ce thé, tout en se réchauffant au coin d’un bon feu en attendant le rétablissement de Mashia.
La grand-mère n’était pas n’importe qui, étalant certains produits à base de plantes médicinal sur les blessures de Mashia pour la soigner.
Quant à Saya, elle regardait du coin de l’œil Eikichi qui semblait préoccupé…
Il avait la tête ailleurs… Oui ! Il était inquiet et ne supporter plus de voir souffrir les autres…

(Je préviens aussi tout le monde que personne ne peut savoir qu'on est là, alors que je ne voye pas débarquer tout le monde ici, étant donner que je suis le seul à avoir vécu ici pendant que j'étais abandonner donc personne ne le sait, merci de votre compréension)

Où l’avait t’on encore emmené? Eikichi? C’était bien lui. Il l’avait emporter ailleurs, il avait bien fait, mais Mashia était au plus mal.
Durant le trajet, elle s’était endormit, bien trop faible pour essayer de marcher ou même… De parler?
Quelques heures passèrent sans que Mashia ne rêve de quoi que ce soit, tant mieux…
Alors, enfin, elle se réveilla, elle tourna la tête sur le coter, qui était cette vieille dame penché sur elle?
Elle lui fit signe de ne pas bouger, la jeune Mashia acquiesça d’un signe de tête.
Et Eikichi?
Alors, la jeune femme tourna la tête de l’autre coter, il était là, elle pouvait le voir grâce à la porte rester entre ouverte, il semblait préoccuper, et? Qui était cette jeune fille à coter de lui?
Mais? Où était t’elle au juste?
D’un œil bienveillant la vielle femme aida Mashia à s’assoire, elle lui offrit une tasse de thé, que Mashia accepta très volontiers, mais encore une fois, dés qu’elle essayait de parler elle n’y parvint pas.
Surprise, la vieille dame lui souria et se releva. A son tour Mashia essaya de se lever, avec peine elle y parvint, elle lui fallait voir Eikichi.
La grand-mère suivit donc de près par Mashia pénétra dans une grande pièce, là où se trouvait Eikichi et cette jeune demoiselle.
A la vue d’Eikichi, Mashia eut un sourire…

« Elle est pas très bavarde ton « Amie »

Dit alors Saya en jugeant Mashia du regard. A ces mots, Mashia mit ses mains sur cou… Oui, quelque chose n’allait pas.
L’air consternée, Mashia s’assit à genoux près d’Eikichi, silencieuse, car elle n’avait pas tellement le choix, la jeune femme baissa les yeux, se sentant quelque mal à l’aise, de ne pas pouvoir s’exprimer, et dire se qu’elle devrait dire dans ce genre de situation.

« Saya… »

Saya fit une moue, apparemment elle ne semblait pas tellement apprécier la présence de cette inconnue, quoi de plus normal après tout. Si il ne s’agissait que de sa.
Mashia ferma les yeux, elle se remémorait tout se qui venait d’arriver… Yuki… Il… Il lui était revenu… Pendant un court instant, elle l’avait bien vu! Elle n’avait pas rêver!
La jeune Saya s’approcha alors de Mashia, elle s’assit à ces coter et l’observa longuement, Mashia ouvrit alors ses yeux, qui étaient redevenu rouge… Saya sursauta, un tel regard! Rien de plus normal qu’il soit effrayant non?
Elle s’écria alors.

« Eiki! Pourquoi la tu emmenée ici?! »

La jeune Kunoichi dépitée, détourna le regard et le posa sur le feu crépitant dans la cheminée.
Yuki…
Alors elle dénuda son épaule une nouvelle fois… Cette marque… La signature de Yuki, oui… Jamais elle ne l’oublierait!
La vielle dame regarda alors Mashia avec beaucoup plus d’attention, une chose l’avait frappé, une chose graver dans son dos, elle voyait un tout petit bout monter sur son épaule, c’était vivant? Non, on aurait dit une sorte de tatouage…

« Quel est son nom, Eikichi?… »

Mashia tourna la tête vers cette femme, pourquoi demander une telle chose? S’empressant de remettre sa manche pour recouvrir son épaule, la jeune Kyako
Ferma les yeux pour méditer…
Sa souffrance n’avait peut-être pas lieu d’être.
Quant à Saya, elle fronçait les sourcils, elle était peut-être méfiante?

« Elle est pas très bavarde ton « Amie »

A ces mots, Eikichi détourna le regard du feu pour fixer la jeune femme ayant sourie…
Un sourire… pour une fois.
Cela ne lui déplaisait guère, c'était même agréable mais il ne montra pas son contentement et garda son air sérieux.
Saya semblait ne pas trop apprécier la venu de Mashia, serte c’était une inconnu mais elle était une amie pour Eikichi.
Fixant la jeune femme venant se poser à coter de lui.
La voir dans un meilleur état était assez convainquant et chaleureux.
La voir seule dans sa souffrance, pourquoi ne pas la laisser vivre paisiblement ?
Le regard ce posa alors sur Saya qui n’avait pas l’air contente.
Pourtant, il n’y avait pas de raison même si c’était une étrangère, peu être méfiant… Ou jalouse.
Qui sait ? Puis elle vint alors à répliquer au jeune homme sur un ton assez inquiétant.

« Eiki! Pourquoi la tu emmenée ici?! »

« Euuuh… et bien… Parce que c’est le seul endroit où elle pourra ne pas avoir d’ennui… »

Tout le monde semblait perplexe, attirait-elle les ennuis ?
Tout comme Eikichi et pourtant il ne lui était jamais arriver aucun problèmes ici.
Cette petite chaumière ne pouvait être mieux pour elle que dans les bras de personnes aux effets néfaste.
Quant à la grand mère, elle semblait intriguer elle aussi mais pour autre chose.
Ne savant pas pourquoi, Eikichi continua à fixer ce feu ardent qu’il ne put que le réchauffer de cette froideur hivernal.

« Quel est son nom, Eikichi?… »

« … Elle… Elle s’appelle Mashia Kyako… Pourquoi une telle question grand-mère ? »

Cela intriguait aussi Eikichi.
Connaître le nom de cette femme était tout à fait normal.
Mais ce qui le rendait étrangement suspicieux c’était de voir la réaction des autres.
Saya n’ayant pas l’air d’apprécier la présence de Mashia, cela n’était pas des plus agréable.

« … Elle… Elle s’appelle Mashia Kyako… Pourquoi une telle question grand-mère ? »

C’était au tour de la grand-mère de paraître inquiète, ce nom, cela lui disait quelque chose.
Oui, extrêmement perplexe, la vieille femme chercha ses mots avant de regarder une nouvelle fois cette dite inconnue. Mashia Kyako…

« …Kyako Mashia, la détentrice du…? »

La jeune Kyako sursauta, elle mit sa main devant la bouche de la vieille dame, par réflexe, tout simplement.
Saya, se leva alors brusquement, tout ces mystères autour de cette femme, elle n’avait pas l’air de supporter.
Mashia le lit dans son regard…
Il lui fallait donc partir.
La jeune femme se leva alors, et s’inclina respectueusement… Eikichi était gentil de vouloir l’aider mais se n’était pas à lui de régler ses problèmes!
Déterminée, la jeune femme s’approcha doucement de la porte…
Saya s’interposa alors.

« Non! Tu ne sortiras pas d’ici, tu es trop affaiblit! Tu veux mourir à la fin? »

Peut-être bien, mais de toute façon, ne voulait pas qu’elle meurt, plusieurs personnes l’en empêchait!
Mais Saya? Elle avait changer d’avis?
Elle aida Mashia à s’asseoir de nouveau, elle eut un sourire puis, plus rien.

« Eikichi, tu devrais la ramenée chez elle, c’est se qu’elle veut, apparemment… »

Dit alors la vielle dame… Elle n’avait pas tord, elle voulait rentrer chez elle… Mais « Chez elle » où était-ce?
Non, il devait la ramenée dans sa chambre d’hôpital! Comme sa, avec un peu de chance Yondaime n’aurait même pas remarquer sa subite disparition…
Mashia regardait alors Eikichi… Calme…

« …Kyako Mashia, la détentrice du…? »

Du ? Qu’allait-elle dire ?
Mashia ne lui laissa pas le temps de finir.
Eikichi aurait bien aimer savoir ce qui se tramait… La détentrice de quoi ou de qui ?
Encore un mystère. Pour Eikichi, cela aurai put être un Bijuu… Surment que non.
Voyant ensuite la jeune Saya s’interposer devant la porte pour empêcher Mashia de partir.
Quel changement soudain, elle qui regardait cette pauvre fille avec des yeux farouche et mécontent.
La voilà en train de l’interdire de partir pour une raison qu’il lui était aussi inconnu.
Il se doutait que Mashia ne se sentirait pas à l’aise ici, mais c’était pour son bien.
Eikichi fut intriguer lui aussi, connaissant que peu d’information sur Mashia, en savoir plus aurait été peu être nécessaire.
Il laissa tomber cette couverture sur le sol et déposa la tasse de thé sur une table lorsque la grand-mère répondit promptement.

« Eikichi, tu devrais la ramenée chez elle, c’est se qu’elle veut, apparemment… »

« … Mashia… Elle n’a pas d’endroit où habiter… Grand-mère… J’aimerais rester seul un instant avec elle si possible… »

« Quoi ? Mais il en est hors de question, Eiki je te laisserais pas seule avec une inconnu alors que… C’était vraiment d’un pompant, des bouchons pour les oreilles auraient été plus utile…
Je la connais pas et toi non plus je présume, tu vas pas… »

« SAYA !… Je te pris de me laisser seul… S’il te plait… »

Sans prononcer un mot, Eikichi cria pour la première fois sur cette fille.
La voilà triste, elle qui ne voulait que du bien… Mais Eikichi voulait avoir le cœur nette de ce qui se tramait.
La grand-mère et sa petite fille alla dans une autre pièce, quant à Eikichi il se tourna vers Mashia et se pencha en avant comme pour supplier.
Pourquoi ? Qu’avait-il fait ? Rien, il voulait seulement ce faire pardonner.
Se relevant, fixant toujours la jeune femme de ses yeux noirs, il passa sa main dans ses cheveux avant de sortir un kunai qu’il lança juste sur le coter de Mashia, lui rasant de très prés le visage.
Il vint alors à se planter dans la porte. Qu’avait-il en tête ?

« Mashia… Dis-moi… Qui est ce Yuki et que te veut-il ?… Et si tu veux vraiment partir d’ici… Tu sais bien qu’on finira par te retrouver si tu ne reste pas ici. Je t’y ai emmener pour ton bien car je comprend ta souffrance et tes peines… Ne tombe pas dans les ténèbres Mashia… Je voudrais tout savoir même si cela ne me regarde pas… Puis ma vie est courte, je n’ai plus beaucoup de temps à vivre par mis vous… Alors si tu pourrais m’accorder cette faveur… Si tu veux vraiment rentré je t’y accompagnerais… Mais si seulement tu pouvais me dire ce qui ne va pas… Je souffre plus que qui qu’on que ici bas… Alors je sais ce que tu peu ressentir, je le ressens au plus profond de moi… Dis moi tout Mashia, s’il te plait… »

« SAYA !… Je te pris de me laisser seul… S’il te plait… »

Mashia en fut outrée, jamais encore elle n’avait vu Eikichi perdre patience! La jeune femme baissa la tête, Saya et la vieille dame s’en était aller dans une pièce voisine.
Se retrouvant tout les deux seuls, Mashia et Eikichi se jugeait du regard, Mashia ne céda pas, et écouta le jeune Uchiwa.
Alors qu’il lui lança un Kunaï qui frôla son visage, Mashia écarquilla les yeux de surprise!
Non! Elle ne devait pas cédé a la panique, elle allait vraiment l’écouter.

« Mashia… Dis-moi… Qui est ce Yuki et que te veut-il ?… Et si tu veux vraiment partir d’ici… Tu sais bien qu’on finira par te retrouver si tu ne reste pas ici. Je t’y ai emmener pour ton bien car je comprend ta souffrance et tes peines… Ne tombe pas dans les ténèbres Mashia… Je voudrais tout savoir même si cela ne me regarde pas… Puis ma vie est courte, je n’ai plus beaucoup de temps à vivre par mis vous… Alors si tu pourrais m’accorder cette faveur… Si tu veux vraiment rentré je t’y accompagnerais… Mais si seulement tu pouvais me dire ce qui ne va pas… Je souffre plus que qui qu’on que ici bas… Alors je sais ce que tu peu ressentir, je le ressens au plus profond de moi… Dis moi tout Mashia, s’il te plait… »

Le dire? Si elle le pouvait elle le ferait! N’avait t’il pas comprit? Elle ne pouvait pas parler! Pour une raison inconnue!
La jeune femme chercha alors un moyen de communiquer, que faire?
Alors, elle s’approcha d’Eikichi et lui fit tout une série de geste, en tout genre… Pour essayer de lui faire comprendre qu’elle ne pouvait s’exprimer et qu’elle ne voulait qu’une seule chose, rentrer! Oui, aller dans sa chambre d’hôpital!

*Allez Eikichi! Par pitié! Essai de comprendre se que j’essais désespérément de te faire comprendre!*

C’est alors que la porte s’entre-ouvrit, Saya se tenait dans l’embrasure de la porte, les larmes aux yeux, Mashia en fut bouleversée..
Elle se leva alors et alla vers cette jeune fille, elle lui souria alors.
Saya, perplexe, regardait à la fois l’Uchiwa et cette prénommée Mashia…
Qui voulait rentrer à Konoha et surtout régler ses histoires.

« … »

La voilà alors sans parole, Eikichi avait beau parler, rien ne fit…
Il ferma alors les yeux, le visage baissé en direction du sol.
Pourquoi gardait-elle une telle souffrance en elle ?
C’était plutôt stupide de la part de Eikichi, puisque lui aussi il cachait une souffrance atroce en lui ne voulant pas la partager.
Il frappa alors le sol, de ne pas pouvoir aider cette jeune femme encore une fois…
Il se releva lentement, et repris son manteau qu’il déposa sur les épaules de Mashia.
Il ouvrit alors une trappe sous un tapis, descendant, personne ne savait ce qu’il faisait sauf la grand-mère.
Quelques minutes après, Eikichi remonta mais on aurait dit une autre personne.
Il n’était plus habiller comme avant, son regard était par contre toujours le même.
Portant un pantalon noir ainsi qu’une sorte de débardeur blanc et des gants tout en faisant tourner un kunai dans une main, et en brandissent un katana assez long vers Mashia.

« Prend sa… Ce te sera plus utile qu’à moi… Mais s’il te plait, fais-y attention, elle contient l’âme d’un ami très cher… J’espère que tu sauras t’en servir… »

Il fixa alors cette porte entre ouverte, fixant la Saya d’un air morne et chagriné…
Il lui sourit alors, tout en lui faisant signe de venir.
La jeune fille en pleure se pressa de sauter dans les bras de Eikichi qui laissa tomber quelques larmes…
Pourquoi ? Parce qu’il allait lui même en finir avec tout sa.
Sa vie risquait de finir ici même, aujourd’hui. Ca aller se terminer maintenant.
Eikichi donna alors un doux baiser sur la joue de la jeune fille qui se mit à rougir puis sur l’une de la grand-mère, posant ses mains sur ces épaules.

« Grand-mère… Prenez soin de vous… Si je ne revenais pas... Ne pleurais pas, de toute manière je suis fichu d'avance... Alors tant qu'à périr au combat... J'aurais aimer ne pas souffrir autant... Et connaitre encore le bonheur... Mais... »

« Eikichi… Ne fais pas n’importe quoi je te pris… Et reviens nous saint et sauf. »

« On verra bien… S’il te plait… garde Saya au prés de toi… Elle est une ravissante jeune femme, j’espère qu’elle vivra heureuse… Adieu Grand-mère… Surtout, garder sa avec vous… »

Eikichi lui donna un parchemin qu’elle plia dans son tablier.
La jeune Saya semblait heureuse mais triste en même temps.
Voir partir Eikichi comme sa n’était pas des plus agréable.
Il prit alors un manteau tout délabré laissant ressortir ses bras nue et musclés.
Il s’arrosa la visage d’eau avant de regarder Mashia dans ses yeux d’une beauté sans égale.
Qu’avait-il l’intention de faire ? En finir avec tout sa.
Il sourit alors à la jeune femme, lui qui ne souriait jamais et pourtant… Ce fut le cas, tout en lui faisant un clin d’œil.
Ayant l’air pour une fois heureux alors qu’il ne l’était pas du tout au contraire.
Mais cette souffrance ne voulait pas être montrer alors elle fut cacher par une fausse joie.

« Allons y Mashia… Je te ramène où bon te semblera… Et je te le dis d’avance… Je mourrais surment ce soir… Je mourrais en accomplissant au moins une juste cause… Puis… J’en ai assez de souffrir pertinemment jour après jour seul… Puis de toute manière personne ne m’aime… Allons-y ! »

Eikichi retira le kunai de la porte et le planta au sol avant de sortir sous cette neige glacial.
Laissant passé Mashia tout en retenant la porte, sa galanterie ne fut pas moins charmeur même si il n’en avait point l’intention.
Il était prés à présent à tout surmonter, et à en finir une bonne fois pour toute avec sa douleur, ce cœur meurtri…

Encore une femme dans ses bras…
C’était vraiment étrange, lui qui ne se contrôlait plus, s’en alla de cette colline sans tuer une seule personne.
Lui qui ne ressentait plus rien à l’égard des autres, pour lui tout était fini.
Comme aujourd’hui… son cœur était en mauvaise état !
Il pourrait s’arrêter d’une minute à l’autre.
Pourquoi personne ne tenait vraiment à lui ? Pourquoi tant de mensonges ?
Cet orage ne fit que rendre plus malheur cet homme dans son état de désolation.
Pourtant, il avait de la famille, deux personnes qui tenaient à lui…
Mais non ! Pour Eikichi c’était encore des mensonges, alors qu’il était considérer comme un monstre.
Pourquoi avait-il été choisi ? Une erreur de la part de Konoha.
Serte il avait été utiliser pour être tester certains produit sur lui… Mais cela, il ne pouvait le supporter.
C’était un objet, non ! On ne se servait pas des gens de cette façon.
Tout le monde est libre de ses choix, alors pourquoi est ce différent ?
Son amour… ses sentiments… Alors tout sa n’était que mensonges…
Il était sur maintenant, c’est que ni de Itachi, Yondaime ou Mashia n’étaient vraiment des amis on comptait-il à leurs yeux…
Cela ne pouvait plaire à Eikichi ou a n’importe qui d’ailleurs.
Être trahis par tout le monde… être détester…
Tout ce qu’Eikichi avait put faire était inutile.
A chaque fois, il retournait à la case départ… Pour revoir son inutilité et ses faiblesses.
Quelle vie… Si seulement je pouvais avoir une chance dans cette vie maudite ! Mais malheureusement personne ne me comprend, tout n’est que jalousie et perfidie.
Ce monde cruel, affreusement déconcertant.
Avait-il vraiment quelqu’un sur qui s’appuyer ?
Il ne voulait plus retourner à l’Akatsuki, pour lui, tout était fini.
Sa mort n’aurait fait pleurer personne, de toute manière tout le monde ne pensait qu’à eux.
Si les autres souffraient, ce n’était pas leur problème.
Lui qui ne voulait qu’aider… Rendre le bonheur des gens réel…
Et non ! Tel était le destin, tout n’était que destruction.
Si seulement, sa joie était vraie… C’était faux, tout comme ses sentiments.
Alors qu’il marchait sous cet orage, la jeune femme ouvrit les yeux, fixant d’un regard apeuré le visage horrifié du jeune Uchiwa.
Ce visage creux, dont seul ses yeux si sombre avait une petite lueur à l’intérieur.
Non ! Ces yeux reflétaient les étoiles, ces étoiles placer dans ce ciel et ce croissant de lune magnifique…
Une soirée entre amoureux aurait été superbe… Malheureusement, sa n’arrivera jamais.
Il déposa la jeune femme quand il s’aperçu de son réveil et se retourna sans laisser un seul mot, un seul son sortir de ses lèvres.
Il fuyait… Il voulait être seul, souffrir en paix… Et mourir.
Oui mourir ! Il ne pouvait rester vivant face à tant de choses incompréhensibles.
Tout comme moi… il souffrait.
Il souffrait terriblement et un peu trop… Il voulait que tout sa s’arrête.
Tant de volonté inexploitée. Tant d’envie, de rêves que ne seront jamais réaliser…
Il était plus que déçu de sa vie, il ne voulait plus rien entendre, plus rien savoir.
La jeune femme accourue vers lui, mais il se retourna brusquement pour l’attraper au cou.
Il ne sera pas, il ne faisait que la retenir à l’écart de lui.

« Eiki…. Pourquoi… pourquoi ? … »

« … Je ne peu Saya… Je suis content de vous avoir retrouver… Mais à présent… Je n’ai nul besoin de rester encore ici… Je te pris de m’excuser… J’ai fait une erreur dans la passé… J’ai fait confiance à des gens qui n’en avaient pas pour moi… J’ai compris ce qu’était le faux amour… La traîtrise, le chagrin… La haine… Je suis désoler Saya, mais je ne peu rester dans ce monde… Je ne peu partager cette souffrance, que se soit avec toi ou quelqu’un d’autre… Tu es comme une sœur pour moi… Tu l’étais… Devient une grande personne Saya… Je te souhaite beaucoup de bonheur… Et… oubli moi… »

Eikichi s’en alla en courant alors, laissant la jeune fille en pleure sous cet orage titanesque.
Il fuyait, il ne pouvait rester, personne ne l’aimais ou le comprenait.
C’était inexplicable, il ne pouvait supporter tout sa, il était perdu dans sa folie.
Tant de choses qu’il ne comprenait pas, qu’il voulait oublier, qu’il voulait connaître…
Tout sa était faux… Tout n’était que chimère.
Le voilà seul… Encore… Il s’avançait peu à peu en direction du seul endroit qu’il connaissait bien…
Pour y laisser la vie… Pour rejoindre un monde meilleur… Puisque personne n’irait pleurer sa mort, personne ne tenait à lui.
Tant qu’à mourir ici et maintenant…

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